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18/09/2015

Présentation des Éditions « LE PÉDALO IVRE » (2ème partie)

Où il est question du pourquoi & du comment l’on créée une collection de poésie, des alliés que l’on peu trouver et d’un recueil de poèmes signé Jean-Marc Flahaut...

 

24/03/2014

Au Nord...

… c’était les Corons bien ! Même que Sophie G.Lucas en a perdu... quelque chose. Même que F-X continue de se repasser le film.

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De gauche à droite de cette chouette bande de gueux (on a la wild bunch qu'on mérite): Jean-Yves Plamont, Cédric Bernard (Les mots des marées), François-Xavier Farine, Thierry Roquet, Saïda, Marlène Tissot, Sophie G.Lucas, Carole Fives, Jean-Marc Flahaut, Simon Allonneau & bibi.

 

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A propos de Simon Allonneau que je publierai à la fin de l'année, voici une vidéo montrant ce dont il est capable chaussé de rollers (ce n'est pas une blague)...

 

Qu'on se le dise... Le Pédalo Ivre ne publie plus que des cascadeurs, maintenant. Surtout ceux qui écrivent comme Simon Allonneau (Samantha Barendson & Pierre Soletti que je sors avant... ont intérêt à s'entraîner).

 

13/10/2013

Pourquoi publier de la poésie ? # 1

 

C’est la question que je me suis posée un peu plus intensément ces derniers jours, après avoir renoncé à publier un(e) poète(sse) au dernier moment (le re-travail sur le manuscrit avait été fait, les contrats étaient prêts).

Pour commencer à y répondre, j’ai envie d’évoquer une expérience marquante dans mon petit parcours éditorial. L’anecdote (aussi cruelle que fondatrice pour moi) remonte à ce jour où, au terme d’une aventure éditoriale de presque quatre ans, je cessai de m’occuper d’une collection de romans francophones chez un petit éditeur (les éditions A plus d’un titre). L’aventure prenait fin pour moi, pour des raisons strictement personnelles, sans rapport avec le relatif insuccès des huit titres que j’avais sortis (un seul avait rencontré son public, « Les ruines de la future maison » d’Hélène Dassavray, critique élogieuse dans le Canard Enchaîné, premier tirage de 1500 ex. épuisé… le Pérou).

L’aventure prenait donc fin et j’essayais de faire un bilan en présence de certains des auteurs que j’avais défendus. Si j’avais sans doute commis des erreurs, je n’avais aucun regret (n’avais-je pas aidé à la parution de deux ouvrages aussi formi-formidables et opposés que « Aux vents » de M.Pellacoeur et « Shopping Bang Bang ! » du tandem Flahaut-Labedan ? J’en étais et en suis toujours fier). J’étais - cette fois - également convaincu que publier des romans dans la petite édition était une mission vaine (pour des raisons que je ne développerai pas ici),  qu’il y avait autre chose à faire dans la petite édition. Alors que je dressais ce bilan à voix haute, j’ai lâché comme une évidence que, de toute façon, n’ayant jamais gagné le moindre euro dans cette aventure, je n’avais jamais raboté ma liberté d’initiative, etc, etc.

Je me suis sans doute écouté parler à cet instant, et n’ai pas tout de suite compris la réaction des personnes autour de moi. Je ne l’ai pigée que plus tard. J’ai pigé que certains de mes proches ne m’avaient tout simplement… pas cru quand j’avais rappelé ne pas m’être fait un centime dans l’histoire.

Et alors, me  direz-vous ? Et alors, je crois que c’est l’un des souvenirs les plus cuisants de ma vie. Que de nombreux auteurs ignorent la réalité économique de la petite édition, c’est une chose (même si je leur trouve de moins en moins d’excuse). Que des proches me méconnaissent à ce point en est une autre (voir "Fire Notice" pge 26).

Aujourd’hui, grâce au soutien de Jean-Marc Luquet, c’est la poésie que je veux défendre au Pédalo Ivre. Pas n’importe laquelle. Dans le jeu des sept familles de la poésie, il y en a deux qui me tiennent particulièrement à cœur (lesquelles ? Ben, lisez ce qui est déjà publié au Pédalo Ivre pour vous faire une idée). Et il y a beaucoup, beaucoup de choses à faire (des éditeurs aussi remarquables que Les Carnets du dessert de lune, Gros Texte, Les Etats Civils, Le Pont du Change, Pré Carré, Color Gang, La Passe du Vent, Cousu Main et quelques autres ne peuvent y suffire).

Les enjeux financiers de la poésie étant à peu près nuls, j’ai cru pouvoir avancer sur un terrain relativement déminé. Erreur. Bien sûr, il y a les egos. Mais je n’ai jamais craint les egos un peu forts, du moment qu’ils s’accompagnaient d’une véritable générosité, d’une prise de risque authentique.

Je publie donc des poète(sse)s, pas des princes(sses) au petit pois. Des gens qui prennent et qui donnent, pas ceux qui se croisent les bras au bord de la piscine, pas ceux qui sortent de la cuisse de Jupiter (qu’ils y retournent). Exit, les petits malins qui n’ont jamais lu un titre publié au Pédalo Ivre et qui m’envoient leurs z’œuvres en pièce jointe sans me demander si je ne préfèrerais pas une version papier.  À cette engeance, je dis simplement : je ne suis pas là pour vous servir.

Bref, donc, en résumé, au milieu des derniers hommes et des princesses au petit pois, pourquoi publier de la poésie ? Pour prouver que la vie est autre chose qu’une course de rats. Mais peut-être que j’ai tort, peut-être que c’est Ptiluc qui a raison.

 

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Mauvais exemple... À bien y réfléchir, je pense avoir trouvé beaucoup de poésie, gamin, dans les B.D de Ptiluc.

 

17/04/2013

NOUVELLE NOUVELLE VAGUE

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à l'origine

ils n'étaient guère qu'une poignée et personne n'avait la moindre idée de ce qui allait se passer ensuite pas même eux en réalité

interrogé sur le sujet

un philosophe évoqua la problématique de l'errance aléatoire en prétendant que tous ces gosses perturbés étaient semblables à des larves à la dérive plongés dans une illusion collective et passivement entraînés par des courants contraires symptômes de l'ère du temps

souvenez-vous un peu de l'origine du mot plancton dit-il en faisant rouler ses sourcils

(...)


"L'amour de l'île", Jean-Marc Flahaut

pour le commander, ICI

27/03/2013

XXème Cabaret Poétique, Jour J + 4

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Pas l'habitude de revenir sur un Cabaret Poétique qui vient d'avoir lieu (en dehors du partage de quelques photos signées Josette Vial). Mais force m'est de constater que le vingtième Cabaret a été l'un des plus beaux, l'un des plus forts, et que tout le monde a eu droit à son lot de surprise.

Pour ma part, j'ai reçu celle-ci :

 

Qui a provoqué de la part de Grégoire Damon cette riposte :

 

 

 

 

 

Éditeurs carrés

 

 

 l'éditeur de mon éditeur

 

 

vient de réciter un poème

  

où un poète dans un bistrot

 

écrit qu'il écrit un poème dans un bistrot

  

et

 

que ce bistrot est celui-là même

  

où il écrit

 

où il rencontre son éditeur

 

et où

 

je rencontre moi-même

 

mon éditeur

  

 

savent-ils que la construction de ce bistrot en tant qu'entité et fonds de commerce

 

est due à une douzaine de bénévole

 

dont je faisais partie

 

ainsi créateur du lieu de création

 

doublement créé

 

par mon éditeur au carré

  

quelle place puis-je occuper

 

dans la chaîne alimentaire

 

 

 

ô mes chers bistrotiers

 

nous sommes vos poupées 

23/11/2012

"NOUVELLES DU FRONT DE LA FIEVRE"

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Après "LES DERNIERS SERONT LES DERNIERS" de Thomas Vinau, sort enfin le deuxième titre de la collection Poésie des Editions Le Pédalo Ivre, et je n'en suis pas peu fier de cette petite merveille signée Jean-Marc Flahaut.

Pour vous le procurer, c'est ICI et seulement ICI.

On en parle déjà ICI, LA et LA.

à suivre... 

 

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Critique de François-Xavier Farine parue dans le n°12 de la revue "Eulalie" ( Février 2013 ) publiée par le CRLL Nord-Pas de Calais.


06/10/2012

"Le" Pirotte, dans "le" Lire, sur "le" Vinau

Jean-Claude Pirotte, dans le dernier numéro de "Lire", cite Thomas et son recueil "Les derniers seront les derniers"... oui, celui qui a ouvert la collection poésie des éditions "Le Pédalo Ivre". Pour vous le procurer, c'est ICI.

Le prochain titre que j'y sors (dans quinze jours!) sera signé Jean-Marc Flahaut.

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